Production N°1
Pour cette production j’ai voulu montrer le paradoxe, la contradiction que peut entrainer l’eau. En effet, l’eau, à l’état liquide, va agir directement sur ma production. Pour cela, j’ai dessiné sur deux feuilles format raisins des immeubles. Sur la première feuille j’ai dessiné vu du dessous et sur l’autre un immeuble avec une perspective fausse mais permettant un rendu beaucoup plus visible car il y a plus d’encre et que celle-ci est répartie a peu près également sur toute la feuille (de gauche à droite). Ces immeubles sont dessinés aux feutres, puis j’ai sur la première feuille fait éclater des gouttes d’eau pour donner l’effet d’une flaque d’eau sous la pluie et sur la deuxième feuille j’ai fait couler de l’eau depuis le haut de la feuille pour que l’eau coule sur l’immeuble et le modifie. Quand l’eau passe sur l’encre, elle l’efface, la diffuse, l’éclaircie et la change pour toujours. Dans cette production un paradoxe avec l’eau est créé car l’eau est habituellement considérer comme un symbole de vie, nous venons de l’eau, elle nous fait vivre… Mais celle-ci peut aussi être destructrice et endommager ce que l’homme a construit ; à l’échelle de ma production avec les gouttes et les coulures qui change l’aspect de l’encre, mais aussi a plus grande échelle représenter grâce à ma production comme de fortes pluie ou un tsunami qui peuvent détruire d’énorme construction de l’homme comme par exemple des buildings que j’ai choisi de représenter car ces derniers sont les symboles du progrès technologiques et techniques de l’homme. Ainsi, dans ma production la nature reprend ses droits et reprend le dessus sur